Compromis supportable plutôt que confrontation

Seule une approche globale peut permettre à l’agriculture de renoncer à l’utilisation de pesticides de synthèse et d’engrais chimiques. Cela comprend une rotation culturale diversifiée, des plantes et des animaux robustes, l’utilisation du plus possible de fourrages de sa propre exploitation ainsi que l’encouragement d’un environnement diversifié avec beaucoup d’insectes auxiliaires.

Au lieu d’un débat désagréable et qui ne mène à rien sur les initiatives concernant les pesticides et l’eau potable, on demande des solutions globales. Bio Suisse considère que le contre-projet indirect refusé de justesse aujourd’hui par la Commission CER-N est intelligent et prévoyant: diviser par deux les risques liés à l’utilisation des produits phytosanitaires (PPH) d’ici 2030, améliorer la protection de l’eau souterraine et potable, renforcer les règles d’autorisation pour les pesticides. Cela permettra des progrès rapides
dans le cadre des lois existantes.

Bio Suisse espère que le plénum du Conseil national décide malgré le vote négatif de la Commission CER-N de suivre cette voie.





Contacts


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Martin Bossard, Responsable des affaires politiques, 076 389 73 70, martin.notexisting@nodomain.combossard@bio-suisse.notexisting@nodomain.comch

Téléchargement:


Le communiqué au format bio_suisse_avis_sur_la_dcision_de_la_commission_cer-n.pdf (214.6 kB)

20 mai 2019
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